Quand l’enfant paraît, il paraît qu’il nous fait ses promesses de vie…que nous voudrons croire autant que nous espérerons qu’il pourra accepter les nôtres
Quand l’enfant paraît, il paraît que notre vie s’écourte car l’ascension de l’arbre généalogique nous rapproche du ciel… de l’Eve… du reste… et de l’Everest…
Faut-il l’aimer si fort pour penser que la vie ne nous jouera jamais le mauvais tour d’inverser le cours de sa machine infernale ?
Ce jour, il y avait des mères, il y avait des pères, ce matin il y avait des grand-mères, il y avait des grand-pères… tous ceux qui peut-être, ont pensé que la « boite fleurie» aurait dû les contenir et non le corps de l’enfant…
J’en ai fait partie
C’est une question d’Amour qui se dit dans l’Amor…
Maternellement et Amicalement vôtre
Isabelle